
Heureusement, en 1968, grâce à une bourse de la CIA (un institut américain pour « mieux comprendre le monde qui nous entoure »), Daniel renverse le vieux nationaliste, qui plus est général, donc fasciste. La jeunesse, qui découvre les sons endiablés du rock et les avantages de la sexualité « libre », considère Daniel et ses amis, tous boursiers, comme des sauveurs.
Curieusement, peu de temps après, une droite tout à fait amicale envers les Etats-Unis apparaît en France, qui trouvera son point culminant avec l’avènement de Nicolas Sarkozy, citoyen américain nationalisé in extremis la veille de sa victoire en la synagogue Fucket’s.
Attention, synagogue ne veut pas dire « toilettes chinoises ».
Curieusement, peu de temps après, une droite tout à fait amicale envers les Etats-Unis apparaît en France, qui trouvera son point culminant avec l’avènement de Nicolas Sarkozy, citoyen américain nationalisé in extremis la veille de sa victoire en la synagogue Fucket’s.
Attention, synagogue ne veut pas dire « toilettes chinoises ».

No kominte
Depuis, Daniel, devenu un incroyable opposant à Nicolas, ne cesse de le houspiller dans les média qui relayent largement chacune de ses sorties. On dirait que c’est l’opposant préféré de Nicolas !
Son discours à Strasbourg du 10 juillet 2008, vitupérant contre les atrocités sarkoziennes à Pékin (le président voulait assister à la cérémonie d’ouverture des JO), fera date dans l’histoire de la Politique pour les Cons. C’est comme si deux vieux potes jouaient au « dirigeant » et à « l’opposant ».
La prise de bec ne fera rire que les soupçonneux, logiquement relégués sur le net, que fustige avec raison Philippe Val, l’autre ami des enfants et plus généralement des gauchistes avec un âge mental de 12 ans qui n’ont jamais ouvert un dossier de Moeurs. Le reste de la profession journalistique fera honneur à la déontologie en médiatisant à mort cet épisode de soulèvement contre la tyrannie sarkozienne.
Son discours à Strasbourg du 10 juillet 2008, vitupérant contre les atrocités sarkoziennes à Pékin (le président voulait assister à la cérémonie d’ouverture des JO), fera date dans l’histoire de la Politique pour les Cons. C’est comme si deux vieux potes jouaient au « dirigeant » et à « l’opposant ».
La prise de bec ne fera rire que les soupçonneux, logiquement relégués sur le net, que fustige avec raison Philippe Val, l’autre ami des enfants et plus généralement des gauchistes avec un âge mental de 12 ans qui n’ont jamais ouvert un dossier de Moeurs. Le reste de la profession journalistique fera honneur à la déontologie en médiatisant à mort cet épisode de soulèvement contre la tyrannie sarkozienne.

A l'assaut! Pour Daniel, contre le Boche!
Avant, la France, c’était l’église, la baguette, la vache, le pinard, l’ouvrier consciencieux, l’instit.
Aujourd’hui, c’est un trou du cul en Vélib terrorisé par les Arabes qui circule en zigzag dans les rues de Paris Centre, rejoignant son open space de spécialiste de la com, c’est-à-dire de l’encule médiatique des masses.
Un trou du cul qui vote Dany, parce que c’est Bien, Sympa, et surtout parce que les média nous le présentent comme tel. Evidemment, pour nous, le tarif serait une balle dans la nuque, à genou au bord de la fosse. NKVD way ! Mais nous ne sommes pas au pouvoir…
Enfin, pas encore.
Rigolez, mais pendant les Temps Incertains, les Choses se retournent très vite.
Le taulard d’un jour se retrouve Chancelier ou P3 (Petit Père des Peuples) le lendemain…
Vous voulez un dessin ?
Aujourd’hui, c’est un trou du cul en Vélib terrorisé par les Arabes qui circule en zigzag dans les rues de Paris Centre, rejoignant son open space de spécialiste de la com, c’est-à-dire de l’encule médiatique des masses.
Un trou du cul qui vote Dany, parce que c’est Bien, Sympa, et surtout parce que les média nous le présentent comme tel. Evidemment, pour nous, le tarif serait une balle dans la nuque, à genou au bord de la fosse. NKVD way ! Mais nous ne sommes pas au pouvoir…
Enfin, pas encore.
Rigolez, mais pendant les Temps Incertains, les Choses se retournent très vite.
Le taulard d’un jour se retrouve Chancelier ou P3 (Petit Père des Peuples) le lendemain…
Vous voulez un dessin ?

Comme par hasard, l’Opinion existe depuis qu’il y a les Média. Et curieusement, les Média pensent et disent tous la Même Chose.
Question : est-ce l’Opinion qui fait la politique, ou la politique qui fait l’Opinion ?
Dans le premier cas, il s’agit de la définition de la Démocratie, dans le second cas, quelque chose de plus compliqué et de plus cybernétique. De plus pervers, aussi : la perversion de la démocratie. On nous la fait à l’envers, quoi, comme disent les gars des cités, pas bons en français mais bons en instinct, une discipline qui ne s’apprend pas à l’école.
D’ailleurs, vous remarquerez, tous ceux qui sont bons à l’école n’ont absolument aucun instinct, aucun flair, aucun sens du réel. Comme si l’école récompensait ceux qui ne s’occupaient pas du Réel, du Présent, de l’Instant.
Jouir de l’instant, jouir maintenant, tout avoir, grâce à Dany le balai rose, c’est possible. Il suffit d’avoir un gros compte en banque, et une carte « illimity ». Quand ces conditions sont réunies, tu deviens un soixantehuitard parfait, c’est-à-dire un individu libre, libre d’acheter tous les signes extérieurs de richesse, de pouvoir. Enfin, de pouvoir d’achat, parce que le pouvoir réel, c’est pas les semi-cyniques, qui l’ont, ce sont les supercyniques. Qui ont accédé au pouvoir en se servant de la couche des soixantehuitards, ces pasionaria de la conso. Le french dream, quoi.
Question : est-ce l’Opinion qui fait la politique, ou la politique qui fait l’Opinion ?
Dans le premier cas, il s’agit de la définition de la Démocratie, dans le second cas, quelque chose de plus compliqué et de plus cybernétique. De plus pervers, aussi : la perversion de la démocratie. On nous la fait à l’envers, quoi, comme disent les gars des cités, pas bons en français mais bons en instinct, une discipline qui ne s’apprend pas à l’école.
D’ailleurs, vous remarquerez, tous ceux qui sont bons à l’école n’ont absolument aucun instinct, aucun flair, aucun sens du réel. Comme si l’école récompensait ceux qui ne s’occupaient pas du Réel, du Présent, de l’Instant.
Jouir de l’instant, jouir maintenant, tout avoir, grâce à Dany le balai rose, c’est possible. Il suffit d’avoir un gros compte en banque, et une carte « illimity ». Quand ces conditions sont réunies, tu deviens un soixantehuitard parfait, c’est-à-dire un individu libre, libre d’acheter tous les signes extérieurs de richesse, de pouvoir. Enfin, de pouvoir d’achat, parce que le pouvoir réel, c’est pas les semi-cyniques, qui l’ont, ce sont les supercyniques. Qui ont accédé au pouvoir en se servant de la couche des soixantehuitards, ces pasionaria de la conso. Le french dream, quoi.
Et Dany dans tout ça ?
Le Judas par lequel l’innommable nationalisme français fut abattu.
Et remplacé par un autre nationalisme, innommé celui-là.
Le Judas par lequel l’innommable nationalisme français fut abattu.
Et remplacé par un autre nationalisme, innommé celui-là.