
Ici, George W Bush exorte la foule et promet le feu nucléaire aux riches
Car la pensée du gaucho s’arrête juste avant sa souffrance, ou sa contradiction. Par exemple, quand le Pr Rollin se fait insulter par une racaille dans le métro, il commence à penser. C’est-à-dire à intégrer le Réel dans son discours. On peut penser que suite à son traumatisme, il a réactualisé son gauchisme, et quand on réactualise son gauchisme, en général, il n’en reste rien, car c’est une illusion.
Ce qui ne veut pas dire que le gauchisme est faux : son utilité est ailleurs, c’est un levier de foules (voir Mélenchon l’hypnotiseur), et un moyen de les tenir en respect, comme la religion. L’attente, l’attente du Grand Soir, de l’Illusion, du Bonheur, du CDI, du Loto, toute l’arnaque est là. Et le gaucho préfère vivre dans l’illusion plutôt que dans l’action. C’est la vraie différence entre le droitard et le gaucho.
Sur le fond, le gauchiste a raison : la diversité, c’est la condition de la vie et de son amélioration. Mais une concentration de 15 000 Nordafs à La Grande Borne c’est justement tout sauf la diversité.
Et quid de la diversité intellectuelle, idéologique ?
Pourquoi refuser la pensée fasciste, dont nous sommes une pointe décomplexée ? Pasque faut voir avec quels entortillages les fachos se cachent d’en être. Aujourd’hui, être facho, c’est pire qu’être pédé ! C’est une minorité agissante, volontaire, réprimée, mais qui a l’avenir pour elle, comme la minorité juive chez nous avant de prendre le pouvoir il y a 2 siècles. Car dans le quotidien, tout, mais véritablement tout, vient contredire la pensée gauchiste.
Ce qui ne veut pas dire que le gauchisme est faux : son utilité est ailleurs, c’est un levier de foules (voir Mélenchon l’hypnotiseur), et un moyen de les tenir en respect, comme la religion. L’attente, l’attente du Grand Soir, de l’Illusion, du Bonheur, du CDI, du Loto, toute l’arnaque est là. Et le gaucho préfère vivre dans l’illusion plutôt que dans l’action. C’est la vraie différence entre le droitard et le gaucho.
Sur le fond, le gauchiste a raison : la diversité, c’est la condition de la vie et de son amélioration. Mais une concentration de 15 000 Nordafs à La Grande Borne c’est justement tout sauf la diversité.
Et quid de la diversité intellectuelle, idéologique ?
Pourquoi refuser la pensée fasciste, dont nous sommes une pointe décomplexée ? Pasque faut voir avec quels entortillages les fachos se cachent d’en être. Aujourd’hui, être facho, c’est pire qu’être pédé ! C’est une minorité agissante, volontaire, réprimée, mais qui a l’avenir pour elle, comme la minorité juive chez nous avant de prendre le pouvoir il y a 2 siècles. Car dans le quotidien, tout, mais véritablement tout, vient contredire la pensée gauchiste.
LES FACHOS SONT LES NOUVEAUX JUIFS

Loin des crouilles, Linda et Paul pédalent dans la semoule du bonheur
C’en est d’ailleurs drôle : le gauchiste, au lieu de développer sa pensée, dans le fond et la forme, est obligé de passer son temps à la protéger du Réel, comme Mucchielli, ce spécialiste de l’insécurité qui n’existe pas.
L’angélisme de gauche, responsable de tant de dérives : exemple, ces fameux « grands frères » des cités, payés soi-disant pour assurer la « paix sociale » dans les ghettos, alors que c’est impossible.
C’est juste du racket !
Ou la négation de l’équation sociale « ghettos de Nordafs = production d’insécurité », qui a fait tant de mal… aux électeurs du Front National !
Car ce sont eux qui se prennent tout dans la gueule. Pas les bobos, bien isolés dans les quartiers rénovés des grandes villes, dont ils ont chassé – par la pression immobilière – les ouvriers, ceux dont Mélenchon se réclame, ce même Mélenchon dont les bobos forment le gros des troupes !
On vous la refait ou c’est bon ?
O risibles contradictions… On se marrerait nous aussi, si ce n’était aussi dramatique pour nos concitoyens les plus démunis, vulnérables, vieux femmes enfants, pauvres en tous genres…
Et quand le petit étudiant de gauche se fait tarter dans une manif contre les méchants riches (des cibles toujours vaporeuses), et tarter par des racailles bien réelles, alors le petit étudiant, au statut bâtard de dominant-victime (futur dominant socialement mais victime dans la rue) est capable d’un véritable tour de force : il excuse, il comprend, il valide le geste de la racaille.
Au lieu de répondre, avec honneur, même en sous-nombre, il accepte la sanction de la rue, rêvant secrètement de savoir se battre comme Jet Li.
Un Jet Li qui, avant d’en arriver là, s’en est pris plein la gueule.
L’angélisme de gauche, responsable de tant de dérives : exemple, ces fameux « grands frères » des cités, payés soi-disant pour assurer la « paix sociale » dans les ghettos, alors que c’est impossible.
C’est juste du racket !
Ou la négation de l’équation sociale « ghettos de Nordafs = production d’insécurité », qui a fait tant de mal… aux électeurs du Front National !
Car ce sont eux qui se prennent tout dans la gueule. Pas les bobos, bien isolés dans les quartiers rénovés des grandes villes, dont ils ont chassé – par la pression immobilière – les ouvriers, ceux dont Mélenchon se réclame, ce même Mélenchon dont les bobos forment le gros des troupes !
On vous la refait ou c’est bon ?
O risibles contradictions… On se marrerait nous aussi, si ce n’était aussi dramatique pour nos concitoyens les plus démunis, vulnérables, vieux femmes enfants, pauvres en tous genres…
Et quand le petit étudiant de gauche se fait tarter dans une manif contre les méchants riches (des cibles toujours vaporeuses), et tarter par des racailles bien réelles, alors le petit étudiant, au statut bâtard de dominant-victime (futur dominant socialement mais victime dans la rue) est capable d’un véritable tour de force : il excuse, il comprend, il valide le geste de la racaille.
Au lieu de répondre, avec honneur, même en sous-nombre, il accepte la sanction de la rue, rêvant secrètement de savoir se battre comme Jet Li.
Un Jet Li qui, avant d’en arriver là, s’en est pris plein la gueule.

Sur ce cliché, Jean-Paul, petit Pierre et François rackettent le pauvre Djamel.
Mais il y a pire : le pire, c’est quand petitétudiantblancdegauche se fait tarter devant sa copine. Alors là, tout honneur est perdu, même si meumeuf est de gauche, ce qui est le cas dans 95% des cas.
Couple de gauche, si jeune et déjà humilié par les conséquences de sa propre sécrétion intellectuelle, comme le prof socialiste, humilié par ses élèves, qui reste à enseigner à des Ungawas au milieu d’une école laide comme un krematorium de l’Imagination et vissée au cœur d’un clapier géant d’Islamabadiens. C’est tellement déprimant que nous ne rirons pas du sort de ces illusionnés.
Mais sans l’illusion, supporter cela serait trop dur.
Nous qui pensons plus loin que ces masochistes ne nous gaussons pas de la souffrance logique de nos adversaires. Nous aimerions qu’ils acquièrent un peu de pensée critique sur leur programmation cérébrale, mais tout l’art de l’intoxication politico-médiatique est de verrouiller le moindre commencement de déprogrammation.
Pour beaucoup, il n’y a pas de retour en arrière. S’ils sont pour la diversité ethnique, qui pourtant les fragilise socialement et physiquement, ils refusent la diversité idéo-logique, qui leur ouvrirait pourtant une voie de sortie.
Les logiciels antipenseurs scotchés dans leurs cerveaux télécontrôlés sont tellement indéboulonnables qu’il faut placer une charge surpuissante pour commencer à les faire douter.
On s’inquiète pas, la charge forte, elle arrive, et elle sera pas abstraite.
Les gauchistes pensent contre eux-mêmes, consomment toute leur énergie dans cet insoluble conflit interne, voilà pourquoi ils vivent dans la peur et la paralysie, tandis que les fascistes sont l’idée, et la force.
Couple de gauche, si jeune et déjà humilié par les conséquences de sa propre sécrétion intellectuelle, comme le prof socialiste, humilié par ses élèves, qui reste à enseigner à des Ungawas au milieu d’une école laide comme un krematorium de l’Imagination et vissée au cœur d’un clapier géant d’Islamabadiens. C’est tellement déprimant que nous ne rirons pas du sort de ces illusionnés.
Mais sans l’illusion, supporter cela serait trop dur.
Nous qui pensons plus loin que ces masochistes ne nous gaussons pas de la souffrance logique de nos adversaires. Nous aimerions qu’ils acquièrent un peu de pensée critique sur leur programmation cérébrale, mais tout l’art de l’intoxication politico-médiatique est de verrouiller le moindre commencement de déprogrammation.
Pour beaucoup, il n’y a pas de retour en arrière. S’ils sont pour la diversité ethnique, qui pourtant les fragilise socialement et physiquement, ils refusent la diversité idéo-logique, qui leur ouvrirait pourtant une voie de sortie.
Les logiciels antipenseurs scotchés dans leurs cerveaux télécontrôlés sont tellement indéboulonnables qu’il faut placer une charge surpuissante pour commencer à les faire douter.
On s’inquiète pas, la charge forte, elle arrive, et elle sera pas abstraite.
Les gauchistes pensent contre eux-mêmes, consomment toute leur énergie dans cet insoluble conflit interne, voilà pourquoi ils vivent dans la peur et la paralysie, tandis que les fascistes sont l’idée, et la force.