
Une beauté intérieure à couper le souffle
Malgré des premiers soins prodigués environ 6 heures après ces symptômes alarmants (les urgences étant engorgées, personne n’a voulu laissé passer la ministre, qui s’est même fait traiter de « grosse menteuse »), Roselyne décédait dans d’atroces souffrances, devant un personnel qui n’arrivait pas à croire à ce qu’il voyait. La ministre de la Santé des Laboratoires Privés était en effet considérée comme quasiment « indestructible » par le personnel des Hôpitaux de Paris, menacé de 1000 licenciements.
Dès la nouvelle du décès, Nicolas Sarkozy a aussitôt fermé l’hôpital, et mis 4000 personnes au chômage.
« Tous les Français sont sur la liste », avait péroré la ministre quand tout allait encore bien pour elle, en parlant de la vaccination, selon le principe de précaution établi par les labos privés. Hélas, il n’en fut rien. La grande campagne prophylactique avait floppé, tout le monde commençant à se méfier des diktats de cette droite esclave du Grand Capital. Nicolas et ses amis ont vendu la République pour une bouchée de pain à des enculés grand format, comme si Elle leur appartenait.
La mort de Roselyne sonne désormais comme un symbole prémonitoire…

Les médecins des centres de vaccinations attendent en vain...
Alors que la courageuse bonne femme avait lourdement médiatisé sa propre vaccination, afin de rassurer des Français récalcitrants qui ne se bousculaient pas dans les centres de vaccination massifs (on a même entendu un « pas question d’aller chez Mengele »), un atout de charme et de poids de l’UMP disparaît.
Celle qui obtint en quelques mois la tête de Laporte et de Yade, en politicienne expérimentée et vicelarde, ne mettra plus l’ambiance dans les ternes conseils des ministres. « Ses blagues cochonnes nous manqueront », commente un premierministrable.
« Elle me collera moins à la culotte cette grosse vache », note une secrétaire d’Etat noire, jeune et jolie, récemment expulsée dans le Val d’Oise, qui refuse de dire son nom, « pour pas que ce dingo de Nico me fasse encore chier, surtout depuis l’affaire de son connard de fils ».
Et un mystère politique de plus…

Fine tacticienne, Roselyne, la fille de son père, qui lui avait mis le pied à l’étrier et inoculé le virus de la politique, ne fera plus entendre sa voix de gorge dans les couloirs de l’Assemblée ou de Matignon.
L’oie crispante manquera surtout aux labos, qui avaient trouvé en elle le vecteur idéal de la recherche maximale du profit sur le dos de Français intentionnellement mal informés.
La campagne de suivante devait consister à « vacciner 40 millions de Français contre le socialisme pour 20 ans », selon le journal de bord de la ministresse, retrouvé sur le divan d’une boite échangiste parisienne. Comment une telle œuvre, qui plus est posthume, a-t-elle pu atterrir là ?
Et deux mystères politiques de plus…
Promise aux plus hautes fonctions, malgré une intelligence médiocre et une soumission quasi-pathologique aux labos privés, qui la manipulaient contre de petites ristournes à l’UMP, Roselyne manquera, non pas aux Français, qui la considéraient à 70% comme « traître à la nation » (selon Pierre Giacometti et un sondage à 400 000€ commandé par l’Elysée le 25/10/09 et dénoncé par la Cour des Comptes de Philippe Seguin, qui fait tout pour faire chier Sarko), mais à ses amis politiques.
Qui étaient peu nombreux, vu les coups de pute dont elle était coutumière.
L’oie crispante manquera surtout aux labos, qui avaient trouvé en elle le vecteur idéal de la recherche maximale du profit sur le dos de Français intentionnellement mal informés.
La campagne de suivante devait consister à « vacciner 40 millions de Français contre le socialisme pour 20 ans », selon le journal de bord de la ministresse, retrouvé sur le divan d’une boite échangiste parisienne. Comment une telle œuvre, qui plus est posthume, a-t-elle pu atterrir là ?
Et deux mystères politiques de plus…
Promise aux plus hautes fonctions, malgré une intelligence médiocre et une soumission quasi-pathologique aux labos privés, qui la manipulaient contre de petites ristournes à l’UMP, Roselyne manquera, non pas aux Français, qui la considéraient à 70% comme « traître à la nation » (selon Pierre Giacometti et un sondage à 400 000€ commandé par l’Elysée le 25/10/09 et dénoncé par la Cour des Comptes de Philippe Seguin, qui fait tout pour faire chier Sarko), mais à ses amis politiques.
Qui étaient peu nombreux, vu les coups de pute dont elle était coutumière.