
La grande journaliste laisse passer ce moment historique sans lui sauter dessus. Pourtant, tout est dit. Tout est consommé, comme dirait le Christ. Pourquoi ? Parce que la candidate se résume toute entière dans ce délire verbal: un monologue irrationnel, déstructuré, sans queue ni tête, grammaticalement aberrant, syntaxiquement destroy. Une phrase interminable d’énarque devenu fou, un sens qui se volatilise au bout de quelques mots, un monument d’ego et d’orgueil qui nécessite une hospitalisation immédiate en HP à la demande d’un tiers (HDT).
Nous, journalistes paumés de L’Organe, demandons officiellement aux autorités psychiatriques françaises d’interner sur le champ et sans attendre la dénommée Ségolène Royal, mère de 4 ou 5 enfants, compagne (pour la galerie) du gras et riche socialiste François Hollande, engagée avec toutes ses forces et les sous du Grand Capital dont le portefeuille est géré par Louis Schweitzer (et dont il faudra rétribuer les amis en cas d’élection) dans le combat contre le Mal Nicolas Sarkozy, candidat proclamé des américano-sionistes et de la CIA, ainsi que du Grand Capital (qui a donc deux candidats, on sait jamais, "deux fers au feu c'est mieux que un", dit le proverbe kirghize).
Cet internement de salut public est d'autant plus difficile à exiger que nous sommes d’authentiques gauchistes. Mais la dangerosité, pour elle comme pour ses proches, et surtout pour les enfants innocents qui pourraient se retrouver en face d'un tel discours, est prouvée. Avec une telle farfelue à la tête du PS, la gauche est foutue, et la droite gagne haut la main dans 2 mois. La droite, et son cortège de chômêurs.
Dangereuse pour le PS, Ségolène doit aller à l’asile, comme Lionel l'a fait en novembre. Ce sacrifice sauvera son camp et sera l’occasion de remettre Hollande en selle, seule endive capable de battre une droite ultralibérale vendue au Grand Capital International que dénonce Chevènement.